Il est venu voir ce qu'on faisait par chez nous, équipé de la tête au pied. Au son des rayons cliquetants sur le bitume on a cherché où se cacher. Il a fallu se presser et se faire léger, élancé il était. Ca pimente les cloisons nasales quand ça rayonne et puis ça se dépose entre les lignes finement découpées. La matière a pris possession de l'endroit, pour un temps. Les lumières de la ville lui confiaient ses reflets intermittents et le silence de ces heures avancées pesait sur ces ruelles sombres. Certains se sont envolés, d'autres ont glissé leur racine entre les briques vieillies. Grayt forever

